(prononcez ouaraca)
Des terres montagneuses à l'océan pacifique.
OAXACA (La ville)
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ça, c'est une ville ! |
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ça me rappelle ma chambre quand j'étais ado et fan de woodstock, pour AF c'est la découverte des joies des auberges de jeunesse ... |
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Tout le centre ville dont le parvis de l'église a été envahi par des manifestants, des maîtres d'école (maestros) anti-réforme scolaire qui y campent. |
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je manifeste avec eux mais j'entends déja certains me traiter d'hypocrite |
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Impassibles les indiennes devant les tentes des contestaires |
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parvis de l'église Santo Domingo, magnifique église et couvent-musée très très bien restaurées |
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vue sur le jardin botanique depuis le premier étage du couvent |
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l'intérieur de l'église restaurée; un délire de l'art churriguesque (oui, c'est le bon mot ) magnifiquement restauré et, même si on est pas fan, qui mérite une visite plus que de courtoisie |
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le couvent, les fresques sont du 18ème |
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une des cours intérieure du couvent |
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qui c'est, ce cul-terreux dans ce lieu d'érudits ? (ceux qui donneront la réponse juste seront ...interdit de Love jusqu'à complète auto-critique) |
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on devrait construire une réplique devant la mairie de Juvignac, ça ferait "style" pour parler jeuns' |
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Poursuite de l'étude sur les bancs au musée Rufino Tamayo, et de l'étude sur les origines du nez d'Olivier |
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on a trouvé ça dans une tombe et ça date du 16ème |
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si vous avez un ennemi, c'est le moment de lui dire qu'il lui ressemble |
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le chien-récipient |
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Voyons, il est le père de ... ? (pas de confusion possible sauf pour les malveillants et il y en a) |
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devinez ... eh bien non, évidemment. Il ne s'agit pas d'un fer à cheval puisque c'est en pierre, donc il s'agit tout simplement d'un ... Un tour de Love pour la bonne réponse |
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que dire sans risquer au moins dix allusions perfides ? C'est en fait un dieux de la fertilité, pré-hispanique tardif, habillé avec la peau de sacrifié. |
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là, je vais vous calmer et plus, ceci est une table à déformer les crânes des enfants car c'était une pratique chez les riches (pour une fois de l'histoire des hommes, il valait mieux être pauvre) |
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le résultat du crane déformé... il a l'air très content et n'a pas du tout l'air d'en vouloir à ses parents
MONTE ALBAN
Grande cité zapotèque proche de Oaxaca
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ils sont forts, les mexicains. Non, c'est la nature à moins que ce ne soit un maya qui ait rencontré la fée clochette |
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CACTUS, nous voilà |
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quel est le nom du propriétaire de la chèvre de Mr Seguin ? pas de tour de Love pour la bonne réponse, Na!
MITLA
Petit site mixtèque
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Pil poil ! |
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en matière de sécurité ou prévention, au Mexique, il vaut mieux ne pas compter sur les autres |
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ça ne se voit pas bien mais cela mérite une explication; à Mitla, les conquistadors ont carrément construit (comme très souvent) une église sur un temple mixtèque en réutilisant les pierres. |
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Déco disco dans l'église |
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l'église est juste à droite |
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l'église est derrière |
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notre photographe brigue le prix CACTUS 2012 |
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un autre ancienne pyramide qui s'est retrouvée avec une petite église en son sommet ! |
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au royaume des couleurs Cette région est très réputée pour son tissage artisanal. |
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ne cherchez pas, notre figurant habituel est déguisé en régime de bananes et ça lui va si bien qu'il est invisible |
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c'est le molle (prononcez molé), plat typique mexicain dont la sauce est à base de chocolat (excellent !) Une page exclusivement consacrée à la cuisine sera faite ultérieurement !
HIERVE EL AGUA
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Balade dans un village de montagne où se trouve une résurgence d'eau gazeuse chargée de calcaire, et un peu difficile d'accès donc utilisation du transport local adapté. |
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piscine naturelle |
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les retombées de la source |
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une buse attend son casse-croûte |
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ah, enfin ! |
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admirez la ligne électrique artisanale |
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la clôture (efficace) |
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Heureusement qu'AF ne s'était pas aperçue au départ que cette jolie mexicaine n'avait pas d'enfant
CAMINO de Izucar de Matamoros à Asuncion Nochixtlan
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au bord de la route nationale, à la sortie d'un virage, un mirage ... |
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non, c'est la devanture de ce joyeux réparateur de machine à coudre également couturier |
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un peu plus loin, l'étal du boucher ! (il faut un bon pince-nez le long des routes mexicaines) |
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un petit coin tranquille... pour un petit déj d'aventurier |
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d'autres aventuriers se joignent à nous |
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Olivier a retrouvé son cheval |
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il y en a qui laboure leur champ |
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d'autre laboure leur destin |
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peut-être un heureux dénouement |
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ben non |
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heureusement, les compensations ne manquent pas, hein les biquettes |
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une halte dans un bourg typical |
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une gargote du marché typical |
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le ragoût typical |
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ça, c'est de la gloriette de compétition |
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Autre village et toujours plein de bons prétextes pour faire la fête au Mexique |
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en bas, à gauche, le signe maya et sa traduction en espagnol au dessus |
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en face du musée de ce village perdu, le bar-épicerie-bonbon-pharmacie-divers sympa et hors du temps |
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l'étal d'un cordonnier |
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en face, l'étal d'un grossiste en tout ce qui pousse |
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de la cébette, en-veux-tu en-voilà |
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petite église très ancienne avec un très ancien et petit couvent à moitié restaurés avec les moyens du bord, l'histoire de la conquista est à fleur-de-peau |
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silo en dur pour stocker et surtout protéger des animaux les récoltes |
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paysage de sierra |
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un vallon fertile et la sierra aride |
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Elle est en restauration lourde depuis 13 ans |
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l'atelier de taille de pierres sur place, une véritable ruche de plusieurs dizaines d'ouvriers! |
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le porche d'entrèe du couvent splendide (une anse de panier en pierre de 10m. de portée (les connaisseurs apprècieront) |
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la cathédrale en pleine restauration aux dimensions gigantesques |
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le couvent |
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l'intérieur du couvent avec des restes de fresques et des sculptures en pierre |
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on devine par -ci par-là les restes du socle de la pyramide maya mis en valeur par les restaurateurs |
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Le chapeau sur la tête plus le parapluie on est paré pour affronter le soleil |
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avant de parvenir aux arcades bien protégées du soleil et rejoindre le marché |
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sierra, quand tu nous tiens à droite |
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un petit casse-croûte Quand il s'agit de se nourrir, toujours très appliqué Olivier avec ses petites jambes bien serrées. |
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tu nous tiens à gauche (Prévert se retourne dans sa tombe) |
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Poésie, tu nous perdras (c'est la publicité sur un camion qui transporte du bétail; finalement, ils ont l'air heureux les cochons à moins que ce ne soit mensonger) |
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travaux des champs à flanc de montagne |
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sierra beaucoup plus verte |
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alors, au choix; coca 30cl, coca 50 cl, coca 100cl coca 1.5l et coca 2.5l. Ah, j'oubliais, un peu d'eau mais couverte de poussière Grande marmite de "frijoles"
Camino de Mitla à El Camaron
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sierra, quand tu nous guettes ... |
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oh, le beau nuage qui va nous arroser
FABRICATION DU MEZCAL
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rencontre historique au détour d'un virage d'une route paumée dans la sierra; un atelier artisanal de fabrication de Mezcal |
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le mezcaleur,très accueillant, m'explique sa méthode |
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Dans le champ on enlève les feuilles de l'Agave et on ramène la base (ci-dessus) à l'atelier |
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le cheval tourne et entraine ainsi une roue en pierre dans le bac où sont versées les bases pour les réduire en une sorte d'écheveau ![]() |
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qui sont versé dans de grands et magnifiques fûts en bois auxquels on rajoute de l'eau rajoutée pour macération et fermentation |
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causons sérieusement |
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récipient en cuivre, bien sûr avec le trou au diamètre de l'alambic à suivre |
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le four du chaudron |
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l'alambic qui s'insère dans la sortie du chaudron (il y avait deux alambics, on sait jamais !) |
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Retour du champ, les étriers sont en cuir et il nous a expliqué que son protège pantalon également en cuir était super efficace contre le soleil. |
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idem, le loup n'est pas loin |
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ma que !
QUIECHAPAC
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à la fin du chemin à la Indian Jones, tout bêtement, un bourg avec une église, une fête et des gens accueillants |
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l'orchestre local rythme les phases du rodéo |
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préparation du petit taureau qui va secouer un cavalier |
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prêt |
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c'est parti |
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il tient le gars |
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il tient plus |
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le distributeur de mezcal, tout le monde était bien éméché; il a le même fournisseur qu'Olivier (j'ai reconnu la bouteille) |
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le chanteur de charme |
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une petite danse |
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le lasso prêt pour un sauvetage si nécessaire du desperado sur le taureau |
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ça y est, Olivier parle espagnol ... voit flou |
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et parle couramment le mezcal |
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bon, après la fête et ses excés, nous fûmes approchés par un couple d'habitants (Petronila que tout le monde appele Nila et Mauro) du village qui nous ont offert l'hospitalité très spontanément |
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le matin, AF se réveille un peu plus tôt que d'habitude (6h30) et participe à la préparation des tortillas car il s'avère que Nila est une fine cuisinière |
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Dépôt sur le metate de la maza (pâte de maïs) |
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le feu pour la cuisson est dèja allumé car il faut préchauffer la plaque en fonte qui servira à cuire la pâte est pétrie sans mollir sur le metate |
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et rouler comme en Corrèze |
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puis, Nila prélève des panetons |
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dernière phase avant la cuisson, l'aplatissage au format crêpe grâce à une presse manuelle ultra simple sur lequel sont disposés au préalable deux feuilles de plastique |
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la presse en action, je pense qu'un doigt mal placé finirait en bouillis sous la poigne de Nila |
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et voilà la tortilla, qu'il faut tapoter de façon spéciale |
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le petit coup de main avant de mettre sur le feu |
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la bonne odeur a tiré Olivier du lit, dans le panier s'empilent les tortillas cuites |
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magique |
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A cette farine elle a rajouté une pincée de chaux. |
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derrière la maison, |
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Mauro revient du jardin avec les fleurs de courgette et les champignons de maïs |
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prêtes à cuire les fleurs de courgette |
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les champignons de maïs à préparer |
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la selle de Mauro; dans ces villages de montagne, beaucoup de déplacements et travaux se font à cheval car plus commode que la voiture |
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fromage et fleurs, miam ! |
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yapluca.... personne n' y croit ! |
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ça, c'est plus sympa |
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pas de problème, il s'agit d'une voisine passer commande d'un gateau car Nila est une championne des gateaux d'anniversaire très prisés au Mexique |
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un exemple |
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la préparation du petit déj |
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les champignons de maïs |
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et voilà le petit déj. absolument succulent |
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une peau d'iguane préparée par Mauro |
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le pistolet de Mauro, ça rigole pas |
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le village vu de la montagne |
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vers le sud, ce village était assez perdu tout de même, aucune route goudronnée pour y accéder et la plus proche était à environ 2h30 de chemin |
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Nila et Mauro nous ont emmenés à une source sanctuaire dans la montagne derrière leur village |
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Mauro et Nila, vraiment très sympathiques |
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petit autel en pleine nature avec ses offrandes dont des copies de billet de banque |
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l'entrée de l'église du village |
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l'intérieur de l'église remplie de fleurs qui, nous dit Nila, sont là quotidiennement renouvelées toute l'année |
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elles sont assemblées avec une dextérité admirable |
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là ce sont des épines de pin torsadés avec une fil de fer |
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paysage bucolique |
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bucolique, mon oeil; c'est notre pot de chambre en train de sécher |
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re bucolique, c'était notre chemin en quittant le village de Nila et Mauro |
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au creux d'un vallon |
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AF est passionnée par les vaches |
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on devine l'escarpement du chemin |
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à chaque virage, on a l'impression qu'on va arriver quelque part et parfois, c'est l'inverse, on a l'impression que ça ne finira jamais |
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enfin un cactus bien photographié (sur une idée du narrateur) |
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enfin sur le plateau avec une drôle de géologie très douce d'une sorte de tuff de gros sable |
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le chemin d'accès: au bout, l'océan Pacifique |
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un VRAI paradis |
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radieuse |
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sans commentaire |
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ouille |
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I am a poor lonesome captain without his boat |
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température: 29° |
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vous l'avez reconnu, bravo, tout simplement parce-qu'elle ne veux jamais être photographiée de prés les cheveux mouillés |
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le paradis existe ... |
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n'est ce pas ? |
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même AF se repose !! |
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et c'est Olivier qui travaille ! Un comble ! |
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petit déj d'aventurier... avec toujours le même pot de confiture à la fraise |
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au cas où les Foncaudiens and Co voudraient nous rejoindre, nous sommes parés |
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notre cabaña vite adoptée par AF |
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ça change de la camionnette ! |
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notre salle de bains de sauvages |
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vue de la douche |
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cinq jours après notre départ, une tempête tropicale est passée par là et a un peu secoué le décor |
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au revoir paradis |
PUERTO ESCONDIDO
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la sirène et moi |
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de la caisse du supermarché; vue mer ! |
Playa Zicatela
une des mecques des surfeurs
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Non, ce n'est pas Olivier que j'ai photographié ! |
LA VENTANILLA
Une plage assez sauvage avec une lagune inattendue
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la lagune et au loin la mer |
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les chasseurs de crocodile avant l'action |
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attention à l'eau qui dort |
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une maman croco qui surveille d'un oeil son rejeton juché sur la branche en bois |
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le père |
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d'après le guide, il fait plus de 2,5ml de long |
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cet arbre a des fleurs de jaune à rouge et qui passe d'une couleur à l'autre chaque jour en fonction du soleil |
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nous étions au milieu d'une volière naturelle au moment de la nidation |
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Duo en noir et blanc |
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A l'affût |
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dans une mangrove dense |
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Je voyage avec un gamin de 10 ans |
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impressionnant iguane à 1,00 au dessus de nos têtes |
MAZUNTE
Un village au bord d'une plage très sympa
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tranquille, et des chaises qui devraient plaire à Jean-François |
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notre gîte |
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la vue de notre chambre |
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c'est pas des blagues |
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repos mérité du guerrier |
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AF au bureau |
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à droite |
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à gauche |
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au milieu |
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la vague traîtresse a transformé votre capitaine en éponge à sable |
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une autre plage |
PLAYA LAS MINAS (à 7km de Pochutla)
Nous nous sommes trouvés une plage déserte, ce qui n'est pas facile vu la dextérité des mexicains pour exploiter le moindre recoin
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ambiance sauvage |
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notre cocotier/parasol |
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les vagues étaient costauds |
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peut-être Neptune |
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la belle aux cocotiers dormants qui fait du stop |
ZIPOLITE
Encore un village mais surtout un gîte original tenu par une américaine très portée sur la méditation
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la vue de notre cabaña |
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notre cabaña peace and love |
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je médite |
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ouh la la |
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c'était le cinéma du coin, en plein air ! |
HUATULCO
Hotel Plaza Conejo
Sendero biosfera jusqu'à la playa Cacaluna
Aprés le passage de la tempête tropicale, un peu par hasard, nous parcourons un sentier apparemment tracé et ...
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au milieu d'un végétation exubérante ... |
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et en suivant un guide quelque peu bizarre ... qui devait avoir peur qu'un serpent ne lui tombe sur la tête, |
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une grenouille nous salue (il y en avait des milliers qui faisaient un vacarme assourdissant) |
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une lagune bruissante de grenouilles, oiseaux, des sorte de loutres et d'insectes |
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le chemin sort de l'humide, la mer n'est pas loin |
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on approche |
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et soudain, la mer ... |
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et une immense plage déserte |
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la tempête de la veille a laissé énormément de choses sur la plage et nous jouons les explorateurs |
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la faune a souffert de la violence des vagues |
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notre chemin de retour |
Après le passage de Carlotta
Nous remontons au nord par la grande route et découvrons les dégâts occasionnés par la tempête
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c'était une station service |
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c'était une plantation de papayer |

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Nous sommes revenus à la casa Macaria car Olivier y avait oublié ses lunettes, des arbres déracinés obstruaient le chemin et plus d'électricité |
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Finalement, nous repartons dans les montagnes vers oaxaca et une jolie fleur nous donne la direction (Note d' AF: Si Olivier poétise...je crains le pire et cela va mal finir !) |
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au détour d'un virage, un marchand de fruit a perdu son toit en en tôle ondulée |
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mais les affaires reprennent |
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une dernière vue vers le Pacifique |
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Cherchez le pot de confiture de fraise...mais il n'y a rien à gagner AF lit un livre d'Isabel Allende |
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Arrêt au marché, en premier plan à gauche des "conchas": on aime ! |
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sauce piquante... aux fourmis volantes: on a pas vraiment senti le petit plus ! |
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motel "point G", les mexicains sont de sacrés coquins |
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si vous n'avez pas compris ! (Note d'AF: Je vous l'avais bien dit !) |
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