PURUAGUA
LA CERISE SUR LE GATEAU; PURUAGUA
Là encore, un piège de prononciation, il faut prononcer pouwouawoua (il y a évidemment une légère petite, variation de wouawoua que les mexicains prononcent sans s'en rendre compte mais qui me demanderais à moi 5 ans d'étude). Je connaissais le nom uniquement en phonétique et quand je l'ai vu écrit sur le panneau du village, je n'ai pas compris que c'était la même chose.
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c'est prometteur |
Hacienda de Puruagua
L'illustre famille de Fernando possède cette hacienda depuis 1860, qui après moultes péripéties de l'histoire mexicaine (révolutions et guerres), est restée dans le giron familial. Aujourd'hui, cette hacienda, qu'Anna France a connu il ya trente cinq ans (ça ne nous rajeunit pas) a été restaurée simplement et le résultat ressemble au paradis
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il y a deux mille m² de toiture avec 4 patios et 2 jardins, le clocheton correspond à la chapelle de l'hacienda |
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Fernando en train de ramasser les mandarines pour préparer un apéro maison
Recette du Daikiri de Diego (frère de Fernando) : les proportions
1 mandarine ou orange - 1 citron vert - 1 Tequila - 1 sucre - pincée de sel
à mixer avec des glaçons |
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pour, enfin, immortaliser Anna France d'aussi prés, je lui ai fait croire que je photographiais mes pieds ! |
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à gauche, LUPE, doyenne de céant, AF au centre (enfin prise de prés entrainée par le tourbillon des autres) et CONCHA, soeur de Fernando.
Au demeurant, Concha est super sympa et parle français ! (Lupe aussi d'ailleurs) |
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toujours près de la table de l'apéro |
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Le soir jeux de carte (canasta et poker) et bar ouvert jusqu'a pas d'heure ! |
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la cuisine où oeuvrent, quand il y a le plein des chambres (30 chambres/60 pers), 5 personnes plus l'intendance encore 5 personnes (digne d'un hôtel). C'est surtout les week ends (nous sommes à 2h de Mexico) ou pendant les vacances. C'est Concha qui gère tout ça et l'hacienda a une petite production agricole: café, avocat, citron |
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Teodora qui n' a pas changé et qu'AF a rencontré pour la première fois quand elle avait 17 ans |
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la cuisine, c'est le coeur battant de l'hacienda, toujours quelque chose en train de cuire ou en cours de préparation car tout est fait sur place (y compris les tortillas qui sont fameuses) |
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Camerino, roi des cuissons de viande, nous découpe une poitrine de porc cuite au chaudron, un régal |
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quand il y a plus de 30 personnes, il y a 2 services |
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l'arbre généalogique de la famille, maintenant, il faut un escabeau pour les derniers nés |
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Fernando profite d'un instant de calme, bienheureux de cette continuité familiale |
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je ris mais je ne vois pas la main qui me chatouille |
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notre chambre |
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l'ancien bureau où je postule brillamment au poste de responsable informatique |
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Jésus grandeur nature prêt pour la procession |
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côté place du village, l'entrée de la chapelle |
EL FRONTON
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le fronton, jeu de balle ressemblant au squash avec une face complètement ouverte |
LA HUERTA
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une biche égarée |
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les plans d'avocatier |
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Mathilde (soeur de Fernando) et le PREMIER et unique pour l'instant de la dernière génération |
EL PUEBLO
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le triptyque zocalo-gloriette-église dans toute sa splendeur |
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j'ai pris un petit coup de vieux mais je suis toujours aussi photogénique |
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à table ! ces petits pots renversés sont des desserts sucrés ! |
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Au marché de Puruagua, on vend de tout.
Il y a un petit renard mort par terre ,ce qu'il fait là ? mystère |
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AF aussi a pris un coup de vieux et d'embonpoint |
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En premier plan: un "mojado" (mexicain illegal au USA de retour chez lui) |
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la charcuterie dont le chicharon à plat à gauche sur l'étal; c'est la peau du cochon découpé et lamelle et rissolé. Très bon pour la ligne ! (exemple à droite) |
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cuidado ! (attention en mexicain) une voiture arrive ... |
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un coup de sifflet veut dire "regardez moi", ensuite il fait un geste pas toujours très clair, puis deuxième coup de sifflet veut dire "exécution", en général, ça finit en ?????? puisqu'entre temps, un nouveau paramètre (piéton, voiture, animal) empêche l'exécution donc nouveau coup de sifflet, on ne sait plus pour qui, suivi par un coup de sifflet d'annulation (long coup strident)
et ... bref, heureusement qu'il n'y a qu'une voiture toutes les 10 minutes ce qui laisse le temps d'aller boire un coup de tequila (et la quatrième voiture rend la procédure de plus en plus brouillonne) |
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bon, l'orage est passé (ou plutôt la voiture) et les mammies se lancent à nouveau dans l'arène |
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la cordelette et le fil électrique sont les deux incontournables de la photo d'une place de marché, même AF s'y est habitué |
PATEJE
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départ pour l'aventure du jour; la visite d'une source située sur la propriété à 1,5km des bâtiments de l'hacienda et qui a la caractéristique de ne jamais s'épuiser. L'aspect de la campagne est très trompeur sur les photos car, en fait, la région est régulièrement très sèche (dans le cas présent, il venait de pleuvoir fréquemment depuis quinze jours après 3 années de sécheresse) et cette source est donc très utile |
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bravo Caroline, enfin une excellente et rare photo de ceux que tous les paparazzis poursuivent depuis belle lurette. Nous comptons sur toi pour la plus grande discrétion |
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scène bucolique |
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quelle force ! |
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à défaut de banc ... |
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les cactus sont en pleine forme |
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une sorte de saule pleureur dont on utilise le feuillage pour chasser les mouches |
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le chemin pour la source |
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la vie des champs |
EL MONTE
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vue du haut du village, les plans d'eau disparaissent s'il ne pleut pas |
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présentation de gauche à droite: Maria (soeur de Fernando), Alejandra (fille de Mathilde, autre soeur de Fernando), Pedro (fils de Concha autre soeur de Fernando), Anne France (belle soeur de Fernando) et Olivier (petite main de Fernando à la cuisine) |
LES CHEVAUX DE L'HACIENDA
Eh oui, on peut aussi faire du cheval
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Selle mexicaine "ranchera" |
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Concha avec "" et "" |
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Livraison : Prêt à monter |
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Mathilde, AF et Concha en grande tenue |
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c'est parti (Pedro est chaperon officiel de qui vous savez) |
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Il n' y aura pas de photos de la magnifique balade, AF est partie avec rien dans les poches |
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le départ |
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le retour |
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on déchausse |
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on remercie le gardian, euh non, el caballerango |
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Mesdemoiselles de Foncaude,
Pedro vous adresse ses salutations (y en a qui vont craquer)
Hasta luego ! |
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